top of page

Ce qu'il faut savoir

Coté Homme : 07 66 30 40 83
Du mardi au samedi / 9h00-12h00 &14h00-18h30
SUR RDV  TOUS LES APRES-MIDI


Coté Femme : Sur RDV
04 94 29 73 77
ou 07 49 80 91 54

Du mardi au samedi (sauf mercredi) / 9h00-17h00

Contact
Services

Homme & Enfant 

COUPE 

TAILLE BARBE

FORFAIT COUPE + BARBE

COUPE ENFANT (-10 ANS)

COUPE ENFANT (-15 ANS)

17 euros

10 euros

24 euros

10 euros

15 euros

 

Offre Fidélité

Mesdames,
-10% sur votre
10ème prestation


avec la nouvelle carte du magasin 

Femme

SHAMPOING/BRUSHING*

SHAMPOING/MISE EN PLIS*

SHAMPOING/COUPE/BRUSHING*

COULEUR/BRUSHING*

      (SANS AMONIAQUE)

COULEUR/COUPE/BRUSHING*

COUPE/MISE EN PLIS*

COULEUR/MIS EN PLIS*

COULEUR/COUPE/MISE EN PLIS*

COUPE/PERMANENTE/SECHAGE*

BALAYAGE*

MECHES*

TIE AND DYE*

DEFRISAGE*

OMBRE*

LISSAGE BRESILIEN* (sur RDV)

SUPPLEMENT CHEVEUX MI-LONGS

SUPPLEMENT CHEVEUX LONGS

 

*SOINS OFFERTS

16 euros

18 euros

26 euros

37 euros

44 euros

47 euros

30 euros

34 euros

42 euros

51 euros

30 euros

48 euros

50 euros

40 euros

120 euros

150 euros

5 euros

10 euros

Tarifs 

Nous trouver

1PLACE COMMANDANT LAMY, 83200 TOULON (PARKING GRATUIT EN FACE DU SALON )

Nous trouver

Modèle Homme

Modèle Femme

Un Enorme "Merci"  pour votre fidélité
et vos commentaires  !

Modèle

On vous invite à continuer de partager
vos impressions et vos avis sur le salon

Press
Our Story

Notre Histoire

Un article de Julie De los Rios 

BIBLOND.com

10/05/2015

"Les Infantino, trois générations de coiffeurs..."

Chez les Infantino, le respect du client et l’amour du métier sont des valeurs transmises par le patriarche, Luigi. Aujourd’hui, les 2e et 3e générations perpétuent le savoir-faire familial.

« Notre père a cinquante-six ans de métier derrière lui. Aujourd’hui à la retraite, il a exercé de 11 à 67 ans», souligne Domenico, le cadet de la famille, 35 ans, dans la coiffure depuis l’âge de 16 ans et à la tête de son salon depuis trois ans. Comme son frère Giovanni et sa soeur Vincenza, il a appris le métier au sein du salon paternel, en observateur dans son enfance, puis en apprentissage.


Aujourd’hui, chacun officie dans son salon à Toulon. « Mais attention, nous ne sommes pas des concurrents ! », précise Vincenza, pour qui la vocation est venue plus tardivement, à 20 ans. Giovanni a très vite su qu’il voulait marcher dans les pas de son père. « À 15 ans, je suis entré en apprentissage. J’ai passé mes CAP, BP puis Brevet de maîtrise. Mon père m’a appris la pratique, la rapidité. L’école a fait le reste. » Le parcours idéal que suivront ensuite sa soeur et son frère. « J’ai mon salon depuis 25 ans. J’ai aussi fondé une école il y a cinq ans à Six-Fours. »

Et ce n’est pas trop difficile de travailler en famille ? La réponse est unanime : bien au contraire,c’est un plaisir ! « Chez nous, ça fonctionne depuis des années. On s’épaule et on peut se remplacer plus facilement. On s’arrange entre nous pour ne pas négliger les clients », souligne l’aîné.

« On aime le contact avec les gens, leur donner le sourire, les voir revenir.
C’est ça notre réussite. »

 

 

 

Entraide familiale et respect du client

Car elle est bien là, la clé du succès. De leur père, arrivé du Sud de l’Italie en 1981, ils ont hérité de valeurs comme le respect du client. « On aime le contact avec les gens, leur donner le sourire, les voir revenir. C’est ça notre réussite. Notre père nous a appris à accueillir les clients. Prendre soin d’eux, être soi-même et, bien sûr, faire du bon travail », renchérit Domenico. Une tradition familiale perpétuée aujourd’hui par la troisième génération représentée par Franck, le fils de Vincenza.

Mais Giovanni et Domenico vont-ils tenter d’influencer le choix de carrière de leurs enfants ? Pas du tout ! Ils les encouragent s’ils en expriment le désir, mais il n’est pas question pour eux de pratiquer un métier qui ne leur plaît pas… « Quand mon fils a fini le collège, il a fait son stage découverte chez notre père dans la coiffure pour homme. À 15 ans, il a formulé la demande de signer un contrat d’apprentissage. Je voulais qu’il passe son bac avant, mais il n’en a pas démordu », se souvient Vincenza. « Si je ne l’avais pas embauché, il serait allé ailleurs. Aujourd’hui, je peux le dire, il est fait pour être coiffeur, il a appris ce métier avec une facilité déconcertante. »

bottom of page